L'importance du jeu
La privation de loisirs a été liée à la criminalité, l'obésité, et la baisse de la créativité. Rob Parr demande pourquoi avoir du plaisir ne sont pas pris plus au sérieux.
Il est le jeu non structuré, où les partenaires doivent négocier les règles, qui est le plus important pour les effets bénéfiques sur le cortex préfrontal.
Jouer est une affaire sérieuse. Cela semble paradoxal et il est, en tant que quelque chose qui vient si naturellement à de grandes cerveau des mammifères (et les oiseaux, selon certaines autorités), qui est tellement amusant, est si vital. Play est un banquet pour le cerveau, un assortiment pour les sens, fournissant nourriture pour le corps et l'esprit: triste alors qu'en tant que société nous semblons nous affamés de celui-ci.
Comment définit-on «jouer»? Selon Patrick Bateson, professeur émérite de l'éthologie à l'Université de Cambridge, «jouer» utilisé par les biologistes et les psychologues est un terme général désignant presque toutes les activités qui ne sont pas ou «sérieux» «travail.» Peter Gray, professeur de recherche au Boston College, écrit que le jeu "est auto-choisi et auto-dirigé," une activité imaginative, non littérale "dans lequel des moyens sont plus valorisés que les extrémités", avec "des règles qui ne sont pas dictées par une nécessité physique, mais émanent de la esprit des joueurs ». Et le théoricien du jeu Bob Hughes, auteur de Evolutionary Playwork (2001), affirme que« l'interaction que nous appelons le jeu social permet aux enfants de découvrir que les règles régissant toute forme d'interaction sociale doivent être révélés, explorées et modifiée "par l'intermédiaire" des protocoles et des méta-communication ".
L'étude académique de l'objet a une lignée distinguée: Charles Darwin, G. Stanley Hall, Jean Piaget, William James, Sigmund Freud, Carl Jung, Lev Vygotski, et Brian Sutton-Smith tout aidé son développement. Une contribution fondamentale était Homo Ludens («L'homme le joueur"), le livre écrit par l'historien 1938 et théoricien néerlandais Johan Huizinga. Huizinga souligné base naturelle de jeu comme une activité pas si trivial: "Jouer est plus ancienne que la culture, de la culture ... présuppose toujours la société humaine, et les animaux ont pas attendu pour l'homme de leur enseigner leur jeu."
Beaucoup d'universitaires continuent de trouver beaucoup d'intérêt dans ce bac à sable intellectuelle.
Prenez le travail de Stuart Brown, fondateur et président de l'Institut national américain pour le jeu et auteur de Lecture: Comment ça façonne le cerveau, ouvre l'imagination, et tonifie l'âme (2009). En tant que chercheur au Baylor College of Medicine dans les années 1960, il a identifié l'importance de la lecture à travers l'étude de 26 jeunes meurtriers (mâles), à commencer par Charles Whitman: en Août 1966, Whitman, 25 ans, étudiant en ingénierie architecturale à l'Université du Texas à Austin, tué sa femme et sa mère, puis monté la tour du campus, avoir abattu un total de 17 personnes et en blessant plus de 30 avant d'être abattu lui-même.
Brown et ses collègues attendaient à trouver une histoire d'abus physique dans Whitman et le passé des autres meurtriers, ce qu'ils ont fait, mais ils ont également découvert que «jouer la privation et d'autres anomalies majeures de jeu" étaient présents dans la plupart des cas. Par exemple, l'espièglerie de Whitman a été systématiquement battu hors de lui (au figuré) par son père autoritaire. Voisins a témoigné qu'il n'a pas été autorisé à jouer avec d'autres enfants. Un comité de l'État du Texas, convoquée pour enquêter sur la fusillade de l'université, a conclu que le manque de jeu a été un facteur clé dans la mise à mort de la frénésie de Whitman: si il avait été autorisé à jouer, il a théorisé, il aurait été mieux en mesure de faire face aux vicissitudes de la vie sans recours à la violence.(D'autres ont émis l'hypothèse que le glioblastome de Whitman, un type de tumeur cérébrale, contribue à expliquer ses actions.)
Brown a continué à cataloguer les histoires de jeu détaillés de plus de 6.000 personnes au cours de sa carrière. Il écrit: ". Qu'est-ce que toutes ces études ont révélé à plusieurs reprises ... était que ... le comportement de lecture normale était pratiquement absent tout au long de la vie des très violents, les hommes antisociaux, indépendamment de la démographie" Il semble que la répétition menaçant de Jack Torrance de «Tous les travaux et pas de marques de jeux Jack un garçon terne "dans The Shining a plus de résonance de la pop.
Le travail de Brown révèle que les enfants gravement play-privés manifestent multiples psychopathologies: à l'inverse, les histoires de succès, des gens créatifs montrent partie vitale de jeu social dans le développement sain. Il semble que le contrôle des émotions, la compétence sociale, la résilience et la curiosité personnelle reviennent à travers des expériences de jeu appropriées au développement. D'autres études, comme le travail des chercheurs suisses Marco Hüttenmoser et Dorothee Degen-Zimmermann, ont également constaté que les enfants jouent-privé réponses manifestes sur une échelle allant de la tristesse à l'agression.
Pourquoi jouer la privation est si préjudiciable? John Byers, professeur de zoologie à l'Université de l'Idaho, dit que parmi les "mammifères avec un jeu bien développé, le comportement représente une dépense d'énergie considérable et peut comporter un risque physique. Ces deux faits indiquent que le jeu le plus probable est impliqué dans le développement du cerveau post-natal (chez les mammifères, une plus grande taille du cerveau adulte exige une période de développement plus), et l'avantage de jeu doit être substantielle (de l'emporter sur l'énergie et les risques coûts) ».
La recherche de Byers au cours des 40 dernières années a également montré que, dans un certain nombre de mammifères, "l'âge auquel jeu atteint un débit de pointe coïncide avec les âges au cours de laquelle il est basé sur la performance élimination sélective des synapses dans le cervelet, la partie de le cerveau qui permet un mouvement sophistiqué. "Jouer en tant que cerveau" l'hygiène? "
Le travail de Sergio Pellis, professeur de neurosciences à l'Université de Lethbridge, en Alberta, au Canada, offre un soutien supplémentaire neurologique pour l'importance de la lecture.
"En un mot, la recherche a montré que si les rats juvéniles ne parviennent pas à se livrer au jeu peer-to-peer, comme les adultes, ils ont des carences dans le domaine social,cognitif des compétences et du moteur," dit-il. "Il existe certaines preuves que ces carences pourraient survenir en raison de la régulation émotionnelle pauvre: examiner comment vos habiletés motrices ou pensée sont dépréciés lorsque vous avez peur.
«Le travail dans mon laboratoire a montré que les interactions dans la période juvénile peer-to-peer façonneront les connexions entre les neurones des parties du cortex préfrontal qui ont des connexions à d'autres circuits du cerveau impliqués dans le moteur, cognitif et les processus émotionnels. En outre, nous avons montré que les rats normalement élevés avec des dommages au cortex préfrontal à l'âge adulte produire certains des mêmes déficits observés dans ceux avec des cerveaux intacts élevés sans expérience de jeu ".
Pellis fait valoir que «le jeu est bénéfique pour le développement d'un éventail de compétences et au moins certains d'entre eux sont améliorées par des changements induits par Play-dans le cortex préfrontal. Ceci a des implications importantes pour le développement humain ".
Il continue: «D'abord, le cortex préfrontal est crucial pour ces capacités que le contrôle des impulsions, et la capacité d'inhiber l'action inappropriée est critique pour le fonctionnement approprié dans des contextes comme la salle de classe. Deuxièmement, l'absence croissante de expérience de jeu dans l'enfance semble être corrélée avec une variété d'psychiatriques perturbations et perte de compétences sociales. Troisièmement, la recherche animale montre clairement qu'il est le jeu non structuré, où les partenaires doivent négocier les règles et apprendre à composer avec les infractions, qui est le plus important pour les effets bénéfiques sur le cortex préfrontal. Autrement dit, ni le jeu non-sociale sur un écran vidéo, ni jeu structuré comme dans organisés sport fournissent les expériences pertinentes fournies par le libre jeu généré par enfants eux-mêmes ".
Comme on ne peut nier la réalité de l'évolution du monde naturel et notre place en elle, à la recherche de la nature de ses explications sur le développement humain peuvent offrir un aperçu fascinant sans avoir recours à la sociobiologie ou des histoires "Juste comme ça". Comme le souligne Byers, le jeu a des coûts et le fait qu'il est tellement omniprésent parmi les grands cerveaux de mammifères doit signifier qu'il paie bien, aussi.
SOURCE: GETTY
Par exemple, prenons notre monnaie morale. Marc Bekoff, professeur émérite de l'écologie et de biologie évolutive à l'Université du Colorado à Boulder, a passé sa vie à étudier le jeu chez les canidés (chiens, loups, coyotes, etc.), y compris heure après heure laborieux regarder la bande vidéo des animaux jeu indices: par exemple, un "arc" exagérée, où l'animal se tapit sur ses pattes avant en se tenant debout sur ses pattes arrière, sollicite jeu canidé et informe toutes les parties que «Ceci est juste un jeu."
Dans la nature et dans les milieux domestiques, les animaux jouent selon les règles (en mettant de côté les questions les plus épineuses de l'intentionnalité, ou si elles peuvent jouer selon les règles, ils ne sont pas conscients de). Deception est une rareté: en effet, ceux qui ne triche sont ostracisés - avec des conséquences potentiellement désastreuses dans la nature. Bekoff dit: "Les animaux, y compris les humains, d'apprendre les règles du jeu et il ya une forte sélection pour le fair-play, car ceux qui violent il peut souffrir de ne pas faire partie du groupe."
En effet, ses recherches sur le terrain à long terme montre que les mineurs coyotes (le «trickster» de la légende amérindienne) jouent généralement juste dans un contexte intra-espèces: ceux qui ne se termine pas habituellement laissant le peloton - et beaucoup plus pauvres taux de survie que ceux qui restent.
Bekoff (dans un livre co-écrit du même titre) postule le concept de «justice sauvage," que le jeu social peut être la pierre angulaire de l'évolution humaine pour la morale.
La recherche académique à partir d'une variété de disciplines démontre l'importance du jeu à l'esprit et le corps à travers les espèces de mammifères, y compris Homo ludens.Les études dans le monde entier montrent également que l'extérieur "jeu libre" (en d'autres termes, pas écrasé sous le poids de surveillance d'un adulte) a les meilleurs résultats pour physique, social, intellectuel et la croissance des enfants, peut-être illustré dans les milieux urbains par les "playscapes" offert par des aires de jeux (il ya 180 de ces espaces à travers le Royaume-Uni, 90 à Londres).
Dans cette optique, on pourrait penser que ces paramètres seraient correctement financés et protégés. Faux.
En Janvier, les enfants et les jeunes Maintenant magazine a publié les résultats de la liberté d'information demandes envoyées aux autorités locales partout au Royaume-Uni.Le magazine écrit que certains avaient 48 terrains de jeux fermés entre Avril 2010 et Octobre 2013, ce qui représente 145 sans personnel et 23 établissements dotés. Les coupes ont également causé des pertes d'emplois massives chez les professionnels de jeux (tels que ceux qui gèrent les paramètres de jeu), avec 62 pour cent des conseils déclaré qu'ils emploient actuellement moins de personnel à temps plein par rapport à 2010 et 22 pour cent disent qu'ils ont plus aucune au tous. Les données révèlent que les dépenses Foi du conseil sur le jeu est passé de 67,9 millions £ en 2010-11 à 41,5 millions de £ en 2013-14, soit une baisse de 26,4 millions de £: tout cela avant l'austérité coule vraiment ses dents.
Nous lisons beaucoup sur la bombe à retardement de l'obésité tic tac au cœur des sociétés occidentales, et jeux d'extérieur pourrait jouer un rôle massif dans désamorcer.Dans un des nombreux exemples, un rapport de l'Université College de Londres, rendre la vie des enfants les plus actifs, publié en 2004, a révélé que l'extérieur, le jeu non structuré est l'une des meilleures formes d'exercice pour les enfants. Pourtant, les échelles augmentent encore.
Comme l'Etat est annulée, les organismes de bienfaisance font de leur mieux pour combler la brèche: dans la capitale, Londres Lecture conduit sur la campagne, rue de lecture, tandis que la société Adventure Playground Ingénieurs (APES) envisage de créer un bras sans but lucratif pour compenser le manque de possibilités de formation pour les futurs travailleurs de jeu. Mais la «Big Society» (rappelez-vous que?) Est pas assez grand.
Et ce ne sont pas seulement une crise physique. Hughes avertit que "parce que le jeu a été une partie importante du répertoire comportemental de l'organisme humain à travers tant de stades d'évolution, nous nous attendons maintenant à jouer. Si nous ne le faisons pas, nous sommes jetés dans ce [psychiatre tchèque] Stanislav Grof appelle «une crise existentielle angoissante 'si grave que nous perdons tous les points de référence, en spirale dans les pathologies de l'enfance et éventuellement la barbarie".
Outre le lien avec la criminalité, il ya aussi un prix à payer en termes de baisse de la créativité. Dans leur livre Play, l'espièglerie, Créativité et Innovation (2013), Bateson et son collègue Paul Martin Cambridge affirment que ludique facilite l'originalité dans la nature et de la société (donc un manque de il devrait être particulièrement préoccupante pour les universitaires).
"Les interventions qui permettent aux enfants de plus grandes possibilités pour jouer les rendre plus créatif», dit Bateson. "Inversement, les craintes concernant la sécurité et les pressions de programmes scolaires réduisent les possibilités pour le jeu libre. Ces tendances sont associés à une diminution de la capacité à venir avec de nouvelles idées ".
Gris d'accord. Il souligne comment américains scores sur les Tests Torrance de la pensée créatrice ont diminué depuis les années 1980 que l'enseignement est devenu plus normatif et temps de lecture a diminué. Et le déclin dont il dispose. Comme le raconte Gray, sociologues de l'Université du Michigan ont évalué comment les enfants américains ont dépensé leur temps en 1981 et en 1997. Dans les deux ans, ils ont demandé à un vaste échantillon représentatif des parents de tenir des registres des activités de leurs enfants sur les jours choisis au hasard par les chercheurs . Ils ont constaté que les enfants non seulement joué moins en 1997 qu'en 1981 mais a également eu moins de temps libre pour toutes les activités d'auto-choisi. Pour six à huit ans, l'étude a identifié une diminution de 25 pour cent en temps passé à jouer au cours de la période de 16 ans.
Ces changements nous coûtent. Dans son dernier livre, gratuit pour apprendre: Pourquoi Libérer le Instinct jouer rendra nos enfants plus heureux, plus autonomes, et les meilleurs étudiants pour la vie (2013), Gris décrit «ce que je pense est l'effet le plus spectaculaire du déficit de jeu : l'augmentation de la dépression chez les enfants, l'anxiété et la maîtrise de soi ... au cours du dernier demi-siècle ". Le savant Boston College avertit également que «hélicoptère parentalité», supervisé de jeu et trop de tests à l'école ont le potentiel de créer un "monde plein de narcissiques ... un monde bien triste."
Tout comme l'enfant est le père de l'homme, de sorte que le jeu de l'enfance favorise la souplesse de la pensée et de l'action, de la sociabilité et l'empathie nos espèces auront besoin dans les épreuves à venir. Michael Gove, s'il vous plaît prendre note: l'apprentissage par cœur ne se rallumera pas les inondations. Les enfants et les adultes ont besoin de l'espace à déranger si nous voulons sortir de la pagaille que nous faisons pour nous-mêmes
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